La Chine et la coopération internationale : la montée d’une puissance
La chine, actuellement l’une des puissances militaires et économiques dans le monde, n’a pas toujours été ce qu’elle est aujourd’hui. En effet, dans les années 40-50, la Chine était une économie centralement, planifiée, essentiellement rurale et complètement fermée sur elle-même (IZraelewicz, 2005, 17). Autrement dit, la Chine n’avait pas eu ce niveau de développement qu’elle a aujourd’hui. Cette Chine ressemblait, peut-on dire, au far West américain du XIXe siècle. L’Etat de droit n’y était pas, sinon était dans son stade embryonnaire, les contre-pouvoirs étaient quasiment inexistants(ibid.). Ça va sans dire que le pays, affaibli par la guerre civile, miné par la division, et surtout, terrassé par une autarcie stérile, a connu pendant cette tranche de son histoire des périodes de grande précarité, de privation et de pauvreté. Le marasme était total. Une situation de famine généralisée. On parlait de 36 millions de morts de faim. La dette a aussi augmenté. Et la Chine se débattait dans une misère effroyable (cf. Philipe Paquet, p. 50). En 1949, à la mort de Mao, la Chine était l’un des pays les pauvres de la planète (Niquet, 2006, p.180). Cependant, l’avènement au pouvoir de Deng Xiaoping en 1979 va inaugurer une phase de reformes et d’ouverture économique avec la mise en œuvre du programme des quatre modernisations. Ce processus historique mené à contre-courant des politiques communistes ayant ruiné le pays va mettre le pays sur les rails de la croissance économique, du progrès, de la réussite matérielle, donc du développement. Il y a, toutefois, un facteur très important qui nous intéresse et nous interpelle en même temps dans ce travail, c’est le poids de la démarche de coopération avec l’extérieur. La Chine ne doit-elle pas sa réussite à un changement de paradigme dans ses rapports avec l’extérieur, notamment avec l’occidentɁ Plus pratiquement, comment la Chine s’est-elle positionnée, ne serait-ce qu’au point de vue de la coopération internationale, pour parvenir in fine à se réveiller (on parlera du réveil du dragon) Ɂ.
Face à cette problématique nous avançons l’hypothèse suivante : La Chine doit son émergence à des mesures de libéralisation économique, c’est-à-dire à son ouverture aux capitaux et investissements étrangers, en changeant son modèle de coopération, du moins en intégrant les nouvelles normes du marché international.
Pour faire notre étude, nous allons mobiliser l’approche libérale des relations internationales. Précisons que l’approche libérale place définitivement les individus et leurs représentants collectifs (États, ONG, OIG, etc.) au centre même des relations internationales. Au regard de cette perspective, le système international est, certes, une entité anarchique, mais les torts causés par cette anarchie sont compensés par la présence d’une communauté humaine qui propose la démocratie, le droit, mais surtout le libre commerce comme solutions aux problèmes humains. Dans le cadre de notre travail, c’est le dernier aspect qui nous intéressera le plus : l’aspect libre marché, ouverture au commerce extérieur et aux investissements étrangers.
Cet article sera structuré comme suit : nous allons évoquer la transition vers le libéralisme et les mesures qui accompagneront ce processus de libéralisation. Puis, nous allons mettre l’accent sur le modèle de coopération que la Chine va développer avec des pays de l’occident, notamment avec les USA, son intégration à l’OMC et son rapport au G20. Notre étude porte sur la période allant de la prise du pouvoir par Deng Xiaoping à 2011.
La Chine : du communisme à la libéralisation de l’économie
Il n’est plus un secret pour personne que le succès qu’a connu depuis plusieurs décennies est le résultat de sa nouvelle orientation politique, culturelle et surtout économique. En effet, la décennie 1979-1989, marquant notamment l’avènement de Deng Xiaoping au pouvoir, les dirigeants ont pris un ensemble de dispositions à la fois de rupture et d’ouverture, en vue de la modernisation du pays, tout en voulant préserver les acquis idéologiques et politiques du Parti Communiste Chinois. Cette démarche de rupture repose sur l’idée d’une ouverture au commerce extérieur, aux investissements et aux capitaux étrangers. Les premières années peuvent être qualifiées de phases initiales des reformes. Fut reprise tout d’abord la politique des quatre modernisations (Jan, Charliand, 2013, p220). Les premières mesures portèrent sur le monde rural, sur l’agriculture, remettant en cause jusqu’aux structures collectivistes. Ces mesures ont permis aux chinois de commencer à s’enrichir. La décollectivisation avait commencé en 1978, d’une manière spontanée, empirique et risquée. Elle ne fut confirmée qu’en 1980 et, dès la fin de 1982, 80% des communes populaires étaient décollectivisées. Le revenu des agriculteurs tripla entre 1979 et 1985(ibid.). Le fondement de ces reformes est le choix du pragmatisme au nom de l’efficacité, dirait Valery Niquet.
D’autres mesures portaient sur des stratégies de développement économique. Des zones économiques spéciales (ZES) sont établies et de développent dans plusieurs provinces, dont Hong Kong, point de contact des échanges de la RPC avec l’extérieur (Niquet, 2006, p57). Les ZES, étendues à quatorze villes côtières en 1984 vont bénéficier d’un régime fiscal particulier destiné à attirer les capitaux étrangers. Le succès se révéla rapide, et les résultats flagrants : entre 1980 et 1985, la croissance annuelle a été de l’ordre de 10%. Le commerce extérieur représentait 4,5% du PNB en 1979, et 10% en 1984(Jan, Charliand 2013, p. 221).
Vers un rapprochement sino-américain
Il faut aussi souligner que la Chine, dans ce processus de libéralisation de son économie, a repensé sinon réévaluer sa coopération avec les États-Unis d’Amérique. En effet, les principaux apports à la radicale et rapide montée en puissance de la Chine, habillements sollicités par Deng, sont venus dès lors des pays industrialisés et tout particulièrement des États-Unis. Après avoir imposé pendant près de trente années un embargo rigoureux à la Chine économiquement fossilisée par l’idéologie maoïste, les USA répondirent aux appels de Pékin en procédant à des investissements financiers, industriels, et des transferts technologiques. (Jan, Charliand 2013, p.222).
En outre, la chine et les États-Unis représentent plus de 40% de l’économie mondiale et, de 2013 à 2016, la chine a occupé la première place- devant le japon- des pays détenteurs de bons du trésor américain. (Niquet 2006, p. 183). Cette position contribue à son image de puissance sur la scène internationale. Toujours est-il, faut-il le souligner, sur le plan commercial, en dépit du déficit considérable de la balance des échanges entre la chine et les USA, qui a atteint 350 milliards de dollars en 2016, Pékin a longtemps pu compter sur le soutien des grands groupes américains. Ces derniers, dans les secteurs de la grande distribution, de la production de biens de consommation électronique, de l’aérospatial, de certaines matières premières ou de l’agriculture, ont bénéficié du marché et des avantages offerts par le système économique chinois en matière de cout du travail et de quasi-absence de normes environnementales et sociales contraignantes. C’est ce que rappelait le Premier ministre chinois dans un discours au mois de janvier 2017, en précisant que, grâce à la chine, plus d’un million d’emplois avaient été créés aux États-Unis.
En revanche, dans sa coopération avec les États-Unis, la Chine apporte en retour une plus-value a l’économie américaine. En effet, selon Valery Niquet, spécialiste de la Chine, (citant le site : http://rhg.com/interractive/china-investment/.) des investissements chinois aux usa ont connu une accélération remarquable. Pour la seule année 2016, ils atteignaient 45,6 milliards de dollars, portant le montant des investissements cumulés chinois sur le territoire américain a 109 milliards de dollars. Le premier secteur concerné est celui de l’immobilier, qui reflète en réalité la recherche de sécurité des investisseurs, inquiets de l’instabilité économique et des risques politiques en chine.
La Chine : son intégration dans l’OMC
Cependant, l’un des moments marquants la libéralisation de l’économie chinoise versus son histoire de coopération internationale, c’est son entrée à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en décembre 2001. Cette intégration dans l’OMC cristallise sa démarche d’ouverture au commerce extérieur et l’acception des normes de coopération internationales imposées par le marché. Cette intégration la mettait face à des obligations d’ouvrir son marché intérieur, réduire ses droits de douane, et mettre fin à son système de soutien à l’exportation, à ses entreprises d’État. En d’autres termes, Pékin devait respecter les principes de base de l’OMC : Clause de la nation la plus favorisée, traitement identique pour les produits nationaux et étrangers, mesures basées sur les prix, fin de pratiques inéquitables (comme le dumping). Pékin devra respecter également certains accords particuliers concernant la propriété intellectuelle, liées au commerce, la libéralisation des services, et aux politiques d’investissement liées des échanges. De plus, la Chine s’astreindre à un règlement multilatéral des conflits des conflits, ou les rapports ou de forces bilatéraux auront moins de poids. Enfin elle devra modifier ses changements de politique, en particulier dans le domaine commercial, et rendre publiques les règles qu’elle édicte elle-même en la matière (Occis 2001, 974).
Si cette décision ne fait pas l’unanimité au niveau de certains secteurs, d’autres voient dans cette décision d’adhésion à l’OMC comme quelque chose de positif. Au sein du régime, écrit le journal Libération, les plus réformistes voient dans l’entrée du pays dans l’OMC un levier de modernisation, un carcan de règles pour un pays qui n’en a guère, l’introduction progressive d’un État de droit, au moins pour le monde de l’économie, avant, espèrent-ils, de l’étendre à l’ensemble de la société. Mais l’OMC constituera également un électrochoc pour des secteurs entiers de l’économie, qui, malgré vingt ans de réformes, restent largement protégés par un État centralisé et dirigiste. L’introduction d’une concurrence accrue peut, certes, pousser à la modernisation des secteurs les plus archaïques; elle a aussi le potentiel de mettre des millions de personnes au chômage dans un pays qui découvre, depuis quelques années seulement, ce phénomène social.
Et de son côté le journal le devoir relayant les propos d’Erick Desrosiers, écrit ceci à propos de l’adhésion de la Chine dans l’OMC : « La Chine, c’est aussi une économie dont le produit national brut est passé du vingtième au septième rang mondial en l’espace de 20 ans et pour laquelle certains prédisent même le premier rang d’ici seulement quatre ans. (…) Cette Chine-là nourrit à l’égard des pays en développement des ambitions tout à fait semblables à celles de n’importe quel pays riche. Déjà premier producteur mondial de lessiveuses, de photocopieuses et de motocyclettes, le géant asiatique ne se gêne d’ailleurs pas pour presser ses alliés des pays pauvres d’ouvrir leurs marchés et de procéder rapidement à un assainissement de leurs structures politiques et économiques. Dans des secteurs comme l’électronique, les télécommunications et les biotechnologies, la Chine compte sur son bassin de chercheurs et sa connaissance du Tiers-Monde pour compenser son léger retard par rapport aux concurrents occidentaux. Mais avant de se lancer à la conquête des marchés étrangers, la Chine devra mettre de l’ordre dans ses propres affaires. L’OMC ne lui accorde en effet que cinq petites années pour se conformer à ses règles en matière de libre circulation des biens et services. Cette opération risque fort d’emporter des pans entiers du tissu industriel chinois, toujours fortement étatisé, en plus de frapper de plein fouet une agriculture peu efficace ».
La Chine et l’OMC : un bilan mitigéɁ
Rares sont les économistes qui se sont risqués à chiffrer l’impact de l’adhésion de la Chine à L’OMC, en termes de croissance. Mais en termes de bilan de l’intégration de la Chine de l’OMC on va dire globalement que les résultats certes controversés, mais demeure positifs. Pendant les dix ans d’adhésion Le vrai bilan de la Chine à l’OMC est peut-être ailleurs. Car les uns et les autres sont d’accord sur un point : par effet de concurrence exacerbé, le poids de l’empire du Milieu dans le commerce mondial pèse sur les prix, y compris ceux du travail. Autrement dit, le pas de géant dans la globalisation économique que représente l’arrivée de la Chine à l’OMC explique en partie la stagnation du salaire médian aux Etats-Unis. Et, du bas au milieu de l’échelle sociale, on a maintenu le pouvoir d’achat en s’endettant. Ce qui est l’une des explications de la crise de la dette d’aujourd’hui. Mais déjà en 2001, on parle d’une augmentation de la Chine vers les USA de l’ordre de 7% et représentait 41,9 milliards de dollars.
Cependant, il y aura quelques frictions, entre le Chine et le monde occidental, vu sa politique intérieure, et des enjeux liés au respect des normes du marché et à la démocratie. L’OMC est un facteur de rivalité interne. Déjà en Avril 1999, on a pu se faire une idée du retour de bâton possible. Quand Zhu Rondgi est revenu les mains vides des USA, il fut accusé de vendre le pays a bon compte, et même qualifie de traitre, plus tard. Le bombardement de l’ambassade chinoise à Belgrade par ce futur partenaire que sont les États-Unis ont encore fragilisé la position de certains dirigeants. La fermeté de l’épisode de l’avion espion, en Avril 2001, a confirmé l’idée que la Chine n’était pas encore prête à tous les compromis pour adhérer (Occis 2001). Mais malgré les difficultés pour la Chine de rester fidèle à ses promesses et a ses engagements, en raison surtout des pressions politiques internes venues du camp conservateur, mais elle reste pour le moins jusqu’à aujourd’hui une bonne coopérante, en témoigne son rapport avec le G20.
La Chine et le G20.
Le groupement du G20 a été créé en 1999, venu d’une idée canadienne (du ministre des Finances de l’époque, Paul Martin) qui n’avait pas beaucoup attiré l’attention mondiale. Il s’agissait d’un forum de consultations au niveau des ministres de finance et des gouverneurs de banques centrales, créé en réponse à la grave crise financière asiatique, devenue mondiale en 1998. Comme le montre John Kirton, la raison d’être de ce G20 ministériel se trouvait non seulement dans l’ampleur de la crise de 1997-1998, mais aussi dans la reconnaissance de l’échec des vieilles institutions de Bretton Woods (Nations Unies, FMI, Banque Mondiale) face au monde devenu trop complexe. De plus, il apparaissait clairement que le G8 était trop étroit et que la Chine et les autres institutions émergentes devaient être incluses dans le dialogue sur la régulation mondiale. Les pères fondateurs du G20 reconnaissaient aussi que ce dialogue serait plus facile entre les experts financiers et les chefs de banques centrales puisqu’ils partageaient nombre de normes et de connaissances techniques (faisant d’eux une « communauté épistémique. (Tiberghien 2011).
Au sein de ce G20 très politique et au sein de la première triade dominante, quelles sont les préférences de la Chine ? Comment comprendre le rôle émergent de la Chine ?
La Chine est véritablement engagée derrière le projet du G20 ; le G20 plaît à la Chine. Le G20 est le forum qui satisfait le plus la Chine, en contraste au G2 ou à la proposition passée d’un G8 élargi. On peut sans doute dire que l’engagement de la Chine derrière le G20 comme plateforme nécessaire à la gouvernance mondiale est plus fort que l’engagement américain. En 2011, on peut dire que la Chine est entrée dans une phase d’exploration intense des sujets de gouvernance économique et environnementale globale, phase caractérisée par un fort effort d’apprentissage et de participation aux évènements de type track-2. (Tiberghien 2011).
L’intérêt (public et gouvernemental) exprimé par la Chine envers le G20 comme instance de gouvernance mondiale est unanime. La Chine se réjouit de l’équilibre général au sein du G20 entre pays développés et les pays en développement. Si l’on excluait le Mexique, la Turquie et la Corée (qui sont des pays intermédiaires entre développés et émergents), les pays de l’OCDE sont en fait en minorité (G7 + Australie + Union européenne). La Chine reconnaît une certaine marge de manœuvre au sein du G20(ibid.).
La Chine, écrit Yves Tiberghien, considère le G20 comme un grand progrès par rapport au G7 et au G8. Selon le professeur Shi Jian Xun (Tongji University, Shanghai, et ancien fonctionnaire, proche du gouvernement), « à la fois le gouvernement et le public ont bon espoir que la Chine va jouer un rôle plus important dans le G20 et équilibrer le pouvoir américain dans la mondialisation (à travers le G20) ». Ce dernier reconnaît aussi que la route est encore longue et que les premiers sommets du G20 ont « traité la douleur », mais pas la maladie (du système économique mondial) (2011).
Il ajoute enfin que la Chine a sans doute réagi trop lentement et prudemment aux opportunités présentées par la crise mondiale de 2008. La Chine a soudain vu de « nombreuses opportunités se présenter à elle en 2008, mais elle n’était pas prête et a sans doute gâché de nombreuses chances ».
De même, le professeur Yao Yang (directeur du centre de recherches économiques chinoises de Péking University) affirme que la Chine apprécie beaucoup le G20 comme une plateforme qui lui permet de mieux défendre ses intérêts et coopérer avec les États-Unis, l’Europe et les BRICS.
Et même le réaliste Jin Canrong (professeur de Renmin University et directeur du centre des études internationales) reconnaît que « jusqu’à maintenant, le G20 a été apprécié par la Chine, même si son avenir reste incertain : pourra-t-il véritablement être un instrument de gouvernance mondiale ? Ou bien n’était-ce qu’un moyen de résoudre la crise globale immédiate de 2008 ? ».
Conclusion
Dans ce travail, nous venons de montrer comment la Chine, par la libéralisation de son économie, c’est-à-dire son ouverture au commerce international, aux investissements étrangers, a fait un grand saut sur le plan économique, si bien qu’elle gravit aujourd’hui la deuxième place de puissance économique mondiale. Cette ouverture a impliqué un changement radical, en termes de coopération avec l’occident, notamment avec les États-Unis. Évidemment, la coopération sino-américaine se révèle fructueuse pour les deux pays, malgré les tensions internes et idéologiques. Un moment fort de son ouverture libérale, a aussi impliqué un modèle de coopération axé sur de nouveaux rapports des organismes internationaux dont l’OMC notamment. Cette intégration a fait un ensemble d’obligations à la Chine, dont la baisse de ses tarifs douaniers, et l’interdiction du dumping économique. Bien que qu’elle fasse l’objet de nombreuses controverses, mais la Chine reste, autant que possible, fidèle à ses engagements. Certains observateurs avisés et spécialistes de la politique chinoise sont quasiment unanimes à reconnaitre la réussie de l’adhésion de la Chine à l’OMC. Nous avons aussi montré, le rôle et les fonctions dans le G20, consacrant définitivement ses rapports multilatéraux avec l’occident. Ce qui, bien évidemment, a permis la Chine de redorer son image sur l’échelle internationale. Voilà tout ce qui vient confirmer notre hypothèse selon laquelle, le développement de la Chine est la résultante du processus de libéralisation de son économie, du moins son changement de modèle de coopération axé sur le commerce extérieur et l’investissement étranger.
Bibliographie
- Clermont, B. 2015. Repenser la multipolarité. Septentrion Géopolitique.
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Michel, J. Charland. G, 2015. Vers un nouvel ordre du monde. Éditions du Seuil.
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Paquin, S; Deschenes D. 2009. Introductions aux Relations Internationales, théories, pratiques et enjeux. Chenelière Éducation.
https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMEve/1018
https://www.lemonde.fr/idees/article/2011/09/29/dix-ans-de-chine-a-l-omc-bilan_1579900_3232.html
Occis. Les enjeux de l’adhésion de la Chine à l’OMC. In: Politique étrangère, n°4 – 2001 – 66ᵉannée. pp. 973-986.
Tiberghien, Y. (2011). La Chine face au grand jeu du G20 et de la gouvernance mondiale. Revue.