Carrefour se noie dans un sinistre désespoir
Au cœur de Carrefour, terre en détresse,
Entre Martissant et Mariani, la violence presse.
Des rues hantées par le bruit des armes,
Où la peur s’installe, drame après drame.
Carrefour, témoin d’une triste symphonie,
Deux gangs rivaux, danse macabre infinie.
Sous le ciel troublé par les échos de la rue,
Les habitants luttent, âmes retenues.
Coup de feu, échos funestes dans l’air,
Carrefour se noie dans un sinistre désespoir.
Martissant et Mariani, voisins hostiles,
Leurs ombres planent sur des destins fragiles.
La vie à Carrefour, chère et incertaine,
Les rêves s’éteignent sous une lueur malsaine.
Les ruelles résonnent de cris étouffés,
Dans cette réalité, l’espoir s’est éloigné.
Entre les murs, la pression de la rue persiste,
Les regards témoignent d’une existence triste.
Carrefour, berceau de destins tourmentés,
Les jours s’étirent dans une angoisse serrée.
Mais au milieu de l’ombre, une lueur subsiste,
La résilience des cœurs, une force artiste.
Carrefour, poème de courage et de foi,
Les habitants luttent malgré la peur qui érode.
Que ces vers portent l’écho de leur résistance,
À Carrefour, dans l’ombre, une espérance.
Dans ce tableau sombre, une note de solidarité,
Carrefour, l’espoir brille dans la noirceur oppressante.
Désiré Lucien