La chute de port au prince, encerclé par des gangs sans pitié
Port-au-Prince, une misère noire en plein jour,
Une capitale meurtrie, dans l’ombre du désespoir,
Où les rues sont remplies de cris silencieux,
Et les larmes des enfants dessinent des ruisseaux.
La politique corrompue, une danse sans fin,
Des élections contestées, le peuple n’a plus de chemin,
Les manifestations, la violence, la colère,
Le tableau sombre s’assombrit, laissant place à la misère.
L’économie épuisée, la pauvreté persistante,
Le chômage rampant, une situation préoccupante,
L’inflation galopante, les prix s’envolent haut,
La faim tenaille les ventres, un cri silencieux, un écho.
Les hôpitaux débordés, la pandémie fait rage,
Les soins médicaux rares, la souffrance en partage,
Le COVID-19 frappe sans merci, sans répit,
La santé en détresse, le tableau est sombre, l’espoir s’enfuit.
Les rues délabrées, les bâtiments en ruines,
L’infrastructure défaillante, une toile d’araignée d’épines,
Les routes cahoteuses, l’eau rare, l’électricité intermittente,
Port-au-Prince, capitale meurtrie, en proie à la tourmente.
La criminalité règne en maître, une ombre sinistre,
Les gangs armés terrorisent, le peuple résiste,
Les enlèvements, les fusillades, la peur au quotidien,
Le tableau sombre persiste, le chaos est roi, l’espoir s’éteint.
Mais au cœur de cette nuit noire, une lueur vacille,
Des âmes courageuses se battent, la douleur s’effeuille,
Port-au-Prince, malgré tout, garde sa fierté,
Dans l’obscurité, des voix s’élèvent, pour la liberté.
L’avenir demeure incertain, mais la résilience est là,
Port-au-Prince, ville blessée, trouvera son étoile,
Un jour, peut-être, le tableau sombre s’éclaircira,
Et l’espoir renaîtra, dans la nuit, comme un signal.
Desiré Lucien