La communauté internationale organise le 2ème génocide sur la terre d’Haïti
S’il est vrai que l’histoire ne se répète jamais et de la même façon, dans le cas d’Haïti les étrangers qui ont toujours convoité cette terre mettent à exécution leur plan d’extermination d’Haïti comme l’ont fait les conquestadores Espagnols.Cette fois-ci, c’est à la face du monde entier qui assiste indifféremment, plaide au traitement inhumain, révoltant que les Etats-Unis d’Amérique, les nations unies imposent aux 12.000.000 d’haïtiens qui connaissent le sort des Animaux malades de la peste. Cette chasse à l’homme, ces massacres quotidiens, ces traques perpétrés par les différents gangs fédérés par les agents de la communauté internationale sont et représentent un signal clair et naît qu’on veut en finir une fois pour toutes avec cette nation de Nègres qui ont su tenir tête au Blans, qui ont fait Vertière, 1804 et qui ont eu le culot d’exporter leur révolution. Une nation fière qui a pu mettre fin à l’exclavage, à la colonisation se voit aujourd’hui obligée d’accepter l’inacceptable en dépit d’une certaine velléité d’en découdre, manifestée par une infime minorité dont la voix ne va pas trop loin. Ce qui est désolant, déconcertant et déroutant dans tout cela, c’est que toutes les forces vives de la nation, les hommes et les femmes de bonne volonté, les groupes constitués, les secteurs, les forces morales dans leur ensemble, ont tous abdiqué et s’en mettent aux bons soins de la Providence, à Dieu et à ses Saints pour certains, acceptent carrément d’être exterminés pour d’autres .
Une situation triste et révoltante qui n’a pas son égale nulle part ailleurs sur la terre bénie. Il faut reconnaître et admettre que ce que l’ont vit n’est pas le fruit du hasard mais le fruit d’un long travail effectué et exécuté par l’étranger avec la complicité des différents dirigeants successifs qui se sont comportés comme de sales valets de laquais qui n’ont pas dû arriver à la tête de l’État .
Ces prétendus n’ont aucun Etat d’âme et ont tous joué leur partition, chacun à sa façon, jusqu’à ce que le pays se réduise aujourd’hui en une jungle, l’enfer sur terre , bon à ne rien faire où aucun espoir n’existe et ne subsiste
Triste sort pour un peuple docile , livré à lui même sans repères on ne sait pas comment et pourquoi un peuple qui est bien parti, qui a réalisé autant de prouesses, se voit aujourd’hui réduit à une sorte de parias, qui est traqué partout où il passe, qui est devenu les nouveaux juifs errants de l’Amérique , qui connait maintenant l’exode, l’apocalypse et tout à la fois .
Ce que vivent maintenant les habitants de la Plaine du Cul-de-sac n’a son pareil sur aucun autre coin de la terre. C’est le cas d’un peuple voué à un sort terrible, qui paie le prix d’un lourd karma , alors que c’est un peuple voué à un destin messianique et qui est appellé à remplir une grande mission. Alors que paradoxalement ce pays, cette terre , c’est le joyau de la Providence et qu’il a pour nom l’île aux trésors de l’humanité et qu’elle recèle en son sein une infinité de richesses et de trésors qui ne peuvent être trouvés nulle part.
Par ailleurs . J’ai beau dire aux haïtiens qu’ils sont un peuple à part, différent des autres, cousin des juifs, descendants directs des 12 tribus d’Israël surtout les 2 tribus de Judas et de Binjamin. Un peuple donc qui est appellé à faire la volonté de la Providence.C’est un peuple qui habite une terre de lumière tel qu’écrit en Actes des apôtres 13: 47. Une terre de contraste, de lumière, de prophétie, de pronostics favorable, qui s’ignore, qui ne veut pas se plier à son destin et qui préfère passer ou aller outre .
Quoiqu’on fasse, en dépit des résistances et autres avatars, je ne veux pas prêcher dans le desert et je réussirai contre vents et marées à conduire ce peuple vers sa destinée et en faire ce peuple décrit en Esaï ” Aux derniers temps, l’Éternel rachètera toutes les tribus dispersées en Egypte, en Samarie et dans les Îles de la mer, surtout en Esaï 60:22 ” Aux derniers temps le premier sera le dernier et le dernier le premier”.
Un texte de Louis Anthony Dauphin