Des Haïtiens se font complices du plan d’extermination ourdi par l’international
Des haïtiens toutes tendances et toutes couches sociales confondues, ont tout perdu, même leur humanité. Ils acceptent d’être exterminés par la communauté internationale et se font complices de ce deuxième génocide orchestré sur la terre d’Ayiti Quisqueya ou Bohio. Un génocide mûrement préparé et planifié qu’il ne laisse aucune porte de sortie. Malgré les efforts consentis par un petit groupe qui comprend le jeu et dont la voix n’est pas et ne peut être entendue, la grande majorité reste passive, amorphe, indifférente et insouciante comme si ce qui se trame ne les concerne pas. Et c’est dommage qu’un peuple si bien parti soit descendu aussi bas, jusqu’à accepter que l’ Étranger revienne à la charge et reprenne le vieux projet préparé et mis à exécution depuis 1492 par Christophe Colomb et les hordes Espagnols. On le comprend bien , 1492, c’est loin , c’est vieux , les Indiens, les paisible populations autochtones n’avaient rien et n’avaient rien appris des bienfaits de la civilisation et des multiples avancées des temps modernes . Mais aujourd’hui, en l’an de grâce 2022, accepter de tels traitements préparés par l’étranger, mais exécutés par des nationaux, espèces de valets locaux aux ordres des maîtres blancs qui tirent les ficelles et les font gesticuler, cela relève d’une forme d’animalité jamais vue dans aucun autre coin de terre . Pourtant , Haïti qui a fait Vertières,1804, tolère tout par la faute de ses habitants qui deviennent tellement dénaturés, qu’ils ne comprennent qu’on est entrain de les exterminer et de les faire disparaitre à petit feu. C’est un suicide, un suicide collectif qui répulse toutes les bonnes consciences du monde entier. C’est inacceptable et intolérable. Il n’y a aucune explication logique et naturelle à cette scène macabre qui se joue en plein jour et en plein 21ème siècle .
Ce genre de pratiques, barbares, inhumaines utilisés par des bandits, ces gangs déshumanisés, utilisés par des bandits, ces satrapes, fatras sans foi et ni loi, sans état d’âme, tout celà est de nature à faire considérer les Haïtiens comme des êtres anormaux perdus dans le temps modernes. Un peuple très ancien qui amène de longues, dures et affreuses guerres, ne doit en aucune façon offrir de telles images à la face du monde. Seul un peuple arriéré, dénaturé, déshumanisant, barbare et non civilisé se laisse aussi traiter sans réagir avec le plus terrible des violences.
Outre indigné, vexé, le journal Le Monde a réagi en ces termes après l’élection surprise, tragique de Michel Martelly à la tête de l’État Haïtien: “seul un peuple fou et désespéré peut accepter l’élection d’un tel individu “. Il a été certes élu, mais il a entraîné le pays dans une telle aventure qu’il se trouve en plein cahos, un pays où les gangs font la loi, où dirige un premier ministre, un monstre naissant qui rappelle Néron à sa façon. Un homme qui n’a pas sa place aux commandes du pays, qui se trouve du jour au lendemain premier ministre sans titre ni qualité. Un véritable usurpateur qui est arrivé avec effraction à la primature.
Si le premier ministre s’obstine à occuper ses fonctions illégalement, les citoyens doivent réagir en vue de prouver qu’ils sont réellement des hommes. Ce peuple doit être conscient qu’il est un peuple élu, voué à un destin messianique .